Hey you !
Dans cet article, on vous dit tout sur la passion economy (économie de la passion en français). Vous êtes prêt ? C’est parti,
En plein boom depuis la crise du Covid, “l’économie de la passion” rencontre un grand succès depuis quelques années. Progressivement et avec l’avènement d’internet, des milliers d’indépendants blogueurs d’abord puis entrepreneurs indépendants, ont fait de leur passion ou de leurs centres d’intérêts, leur principale source de revenus.
Détachés de l’économie de masse, youtubers, influenceurs ou encore dropshippers c’est toute une génération qui à commencé à monétiser ses talents pour ainsi vivre de leur passion.
D’où vient le terme Passion economy ?
D’un constat. Celui d’un journaliste économique Adam Davidson, auteur du livre The Passion Economy, The New Rules for Thriving in the Twenty-First Century et créateur du podcast Planet Money, dans lequel il décode un nouveau modèle économique élaboré par des individus et leurs passions.
Journaliste de terrain, Davidson a parcouru le monde pour y couvrir de nombreuses catastrophes. Au fil du temps et de ses rencontres, il s’est rendu compte que malgré les crises qu’il couvrait, il rencontrait des entrepreneurs très heureux et voyait des choses positives se passer. Tous avaient le même point commun, vivre de leur passion. Intrigué, il à commencé à mener des recherches en collaboration avec des professeurs d’économie pour comprendre comment ce nouveau modèle pouvait fonctionner et s’il pouvait se résumer comme étant une fusion entre le meilleur de l’économie du XIXe et du XXe siècle.
L’économie de la passion
Pour Davidson, la révolution numérique que nous vivons pose un nouveau modèle économique qui pousse les individus à se détourner du monde de l’entreprise pour miser sur leur originalité et gagner leur vie. Être unique et différent pour ne pas être une simple marchandise. Abandonner la course à la grande taille, aux économies d’échelles et aux profits pour proposer une offre basée sur l’intimité et la personnalisation. Aussi, les jeunes générations ne doivent plus chercher des jobs voués à l’automatisation mais au contraire, trouver comment produire des choses de manière intime et comment les vendre à leur communauté.
La Passion Economy est finalement, un bouleversement entre l’économie traditionnelle rattachée à sa force de travail et cette nouvelle économie dans laquelle chacun peut miser sur les différentes facettes de sa personnalité pour trouver une source de rémunération.
Passion economy : le témoignage de Killian pour MYM
Tout commence par une histoire, celle de Killian
Depuis 4 ans, Killian coach sportif enseigne ses techniques de renforcement musculaire aussi bien sur ses réseaux sociaux que dans sa propre salle de sport. Coach sportif reconnu et passionné, aujourd’hui personnalité influente de la plateforme MYM, il nous raconte son expérience.
En quelques phrases, pouvez-vous nous parler de la plateforme MYM ?
MYM est le premier réseau social exclusif qui permet à des sportifs influents comme moi de partager des contenus uniques et personnalisés avec nos fans. Grâce à cette plateforme j’ai pu développer ma communauté de vrais fans, garder le contrôle de mes contenus et valoriser mon travail de façon plus équitable. Avec MYM, j’ai accès à une diversité de formats pour m’exprimer : stories, vidéos, chats personnalisés avec mes fans ou encore ma chaîne TV pour montrer en direct mes entraînements que mes élèves peuvent suivre et reproduire quand ils le souhaitent.
Selon vous, quelle est la différence entre MYM et des réseaux sociaux comme Facebook, Instagram ou encore YouTube ?
Par exemple, quand vous partagez une vidéo sur une plateforme dédiée à cet effet et que vous êtes rémunéré quelques centimes selon le nombre de vues, cela vous oblige à trouver de nombreux partenaires pour essayer de mieux gagner votre vie. Dans ce cas là, il est plus difficile de vivre de sa passion. A l’inverse avec MYM, comme je suis rémunéré par ma communauté, je peux m’occuper de ma salle de sport et aussi profiter de périodes de repos pour monétiser mes temps morts. Sur une plateforme plus classique, je devrais y consacrer 100% de mon temps et à un rythme assez effréné.
Qu’est ce qui à changé pour vous en rejoignant MYM ?
J’ai pu me constituer une communauté de vrais fans prêts à rémunérer mes contenus et avec qui je peux échanger et créer des liens. Après, je partage ce que je veux, quand je veux et à destination de qui je veux et ça change tout ! Je suis libre de publier le contenu de mon choix alors que si j’étais sponsorisé par des marques, je n’aurais pas forcément cette liberté d’action. De plus, avec MYM je fixe moi-même mes tarifs et si je le souhaite, je peux aussi reverser une partie de mes gains à des associations.
Finalement, avec MYM je vis de ma passion et j’ai aussi le sentiment d’accompagner et de soutenir pleinement ma communauté chaque jour pour les aider à se surpasser.
Pensez-vous que les influenceurs soient les meilleurs ambassadeurs de l’économie de la passion ?
Oui mais, je pense qu’il faut d’abord faire la différence entre travailler avec passion et vouloir devenir célèbre. A partir du moment où l’on a quelque chose à offrir et une valeur ajoutée à partager on doit pouvoir trouver une audience intéressée. Sur des plateformes comme Facebook, Instagram ou YouTube, il est impossible de distinguer un vrai passionné d’une “usine chinoise” alors que sur une plateforme comme MYM, le service est transparent, vérifié et sécurisé. De plus, si vous capitalisez par exemple sur Instagram, votre profil est vite noyé dans des profils semblables proposés.
Passion economy, l’alternative à la “mass economy”
L’économie de la passion caractérise une économie qui va à l’encontre de celle que nous connaissons depuis l’ère industrielle. Elle pousse les individus et les entreprises à abandonner cette course effrénée à la croissance et aux économies d’échelles au profit d’une offre plus intimiste, personnalisée et bien plus unique. Elle permet d’échanger, de créer des liens forts et rémunérateurs avec une base de vrais fans.
Un concept qui diffère principalement par son mode de rémunération et un changement dans l’utilisation des plateformes de ventes comme 1er canal de diffusion. Facebook, Instagram, YouTube ou encore l’édition d’un blog vont servir davantage de support de visibilité annexe que pour essayer d’en faire une activité principale et génératrice de revenus.
C’est toute une génération qui n’aspire plus à s’engager dans cette course à l’audience de masse et à production de contenus gratuits les rendant ainsi trop dépendant des algorithmes des plateformes et des caprices des régies publicitaires sans avoir aucune garantie de succès ou de rémunération en retour. Ces créatifs et personnalités influentes souhaitent dorénavant se concentrer sur des échanges plus qualitatifs et intimistes. Libres de créer et de partager des contenus uniques, leur crédo : mieux vaut avoir 1000 vrais vrais fans qui vous rémunèrent directement et équitablement que 100 000 fans pour lesquels les plateformes vidéo vous versent quelques centimes par vidéos vues. Valoriser son travail grâce à une audience bien mieux ciblée et une plateforme bien plus éthique.
Si vous souhaitez en savoir plus sur la passion economy, nous vous conseillons la lecture du livre d’Adam Davidson sur le sujet.