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Le marché de la création de contenu est ultra concurrentiel et très volatile ! Oui, des milliers de personnes tentent chaque jour de s’y faire une place en espérant pouvoir un jour monétiser leurs contenus. Parfois, le succès arrive sur un coup de poker. Souvent, cela vient à force de persévérance et d’engagement. Une chose est sûre, très peu aujourd’hui peuvent se targuer d’en vivre confortablement. Adam Davidson, auteur du livre incontournable The Passion Economy le dit d’ailleurs : “99,9% des personnes ne gagneront pas leur vie sur Youtube.” Alors, quel avenir pour les créateurs de contenus ? Comment trouver le bon compromis avec le modèle économique des plateformes ? C’est le sujet du jour.
Des règles propres à chaque plateforme
YouTube, Twitch, TikTok, Instagram, Facebook… Toutes ces plateformes ont leur propre fonctionnement, leur algorithme, leur popote plus ou moins transparente. Parfois, un simple changement de paramètre peut impliquer une remise en question totale du travail de créateur de contenu (baisse de la visibilité des contenus, modération, changement de stratégie orientée vers les vues à une stratégie orientée vers l’engagement, etc…).
Un eldorado pour la nouvelle génération
C’est ce que l’on appelle la passion economy, ou l’économie de la passion. Le concept ? Fini cette génération qui rêve de sécurité, d’intégrer un grand groupe et d’y faire carrière jusqu’à sa retraite. Aujourd’hui, une nouvelle façon de concevoir le travail est en train de naître. Il est désormais plus facile d’imaginer vivre de sa passion, de son talent créatif, de ses hobbies. Musique, danse, dessin, chant, voyage… Oui, il est désormais possible de percer en capitalisant sur ses talents jusque-là mis de côté dans le modèle de l’entreprise traditionnelle. Et pour cause, aujourd’hui près de 18 % des enfants américains se rêveraient en YouTubeurs.
Créateurs et plateformes : deux business incompatibles ?
L’objectif des créateurs de contenu est bel et bien de pouvoir vivre de leurs créations. De nombreux business sont possibles (partenariat avec des marques, publicités, abonnements, contenus exclusifs, etc…). En revanche, côté plateforme, la vision n’est pas tout à fait la même. Pour eux, l’objectif est simple : maximiser les gains publicitaires. Autrement dit ? Parfois, les objectifs des deux peuvent se rejoindre. Bien souvent, ce sont ceux des plateformes qui priment étant donné que ce sont elles qui dictent les codes de ce marché. Il existe cependant quelques exceptions, comme la plateforme française Mym qui a pour ambition de créer un modèle juste à la fois pour les utilisateurs, pour les créateurs, et pour son propre business modèle. Plus d’informations sur la démarche de ce média par ici.
Vers un modèle économique plus égalitaire ?
Et justement, les règles dictées par les plateformes ne sont malheureusement souvent pas claires et transparentes. Les algorithmes sont propres à chacun, et peuvent changer du jour au lendemain. Dans la majorité des cas, ce qui prime aujourd’hui, c’est la rémunération au clic. Mais celle-ci varie selon de nombreux critères (pays, zone économique, etc…). Un clic n’a par exemple pas la même valeur aux États-Unis ou en France. Dans l’Hexagone, le prix serait aux alentours de 1€ pour 1 000 vues (mais là encore cela peut varier et c’est d’ailleurs progressif selon que l’on fait 1 000 vues ou 1 million). Alors, comment contrer ce mode de fonctionnement très inégalitaire ? Comment réguler ce marché ? Comment créer des règles plus cohérentes pour tous ?
Alors, demain tous Youtubers ?
Si la démarche fait rêver, le pari est risqué. Tout le monde ne pourra malheureusement pas gagner sa vie en ligne. En revanche, de nombreuses personnes ont su tirer partie des opportunités créées par l’impact de ces plateformes et créer ainsi le métier de leur rêve. Alors, oui, c’est possible. Non, les plateformes n’exploitent pas les créateurs. Elles n’ont en rien signé de contrat avec des derniers leur garantissant des conditions précises pour une durée déterminée. Elles s’adaptent aux besoins et aux attentes des utilisateurs, aux nouveaux business possibles.
Mym, la plateforme qui se démarque
La question est donc : comment trouver le fonctionnement qui permettra de proposer le format gagnant-gagnant ? Pour les créateurs de contenu, pour les plateformes. Sur ce point, une plateforme se démarque : Mym. La marque a ainsi mis en place, dès sa création, plusieurs actions permettant de favoriser à la fois l’indépendance et la liberté des créateurs de contenu mais aussi d’offrir des contenus de qualité et de l’authenticité pour les fans. La marque a par exemple mis en place un système d’abonnement payant (pour accéder à des contenus exclusifs). Elle a également développé un outil de monitoring des revenus et un système d’affiliation entre créateurs. Bref, la plateforme déploie petit à petit une panoplie d’outils qui en font un véritable levier pour les créateurs de contenus dans la gestion de leurs revenus.